Vous le savez tous (à moins de vivre reclus au fond d'une grotte, sans média, sans téléphone, sans contact avec l'extérieur (ah, pas si bête comme idée, je m'en rends compte en écrivant ces lignes, bon moyen de vivre tranquille loin de toute psychose)), un nouveau venu sur le planète a chamboulé pas mal de choses. Et après avoir prolongé l'hivernage jusqu'en mai, avoir mis pas mal de dossards de côté, à la fois sur la saison de ski et sur le début de la saison de trail, après avoir tourné en rond (d'un kilomètre, et pas qu'en rond, en étoile aussi, en carré et dans toutes les formes géométriques possibles), j'ai pas mal cogité, et je me suis dit en me réveillant un matin: "Tiens, si j'allais mettre un dossard sur un petit 150 bornes cet été".
Moi qui bien sûr, jamais Ô grand jamais ne me serais lancé dans un tel type de courses, même pas en rêve, il y a encore deux ans en arrière, piqué par le virus (du trail, je précise), me voilà lancé dans un nouveau truc improbable. Il faut croire que le confinement m'a encore enlevé un bout de cerveau, et à force, il ne reste vraiment, mais vraiment plus grand chose.
Alors voilà, je me suis inscrit sur L'Echappée Belle, 149 bornes exactement, 11 400 mètres de dénivelé, minimum 24 heures d'effort.
Pas de doute, j'y vais progressivement. Après un deux trails court l'été dernier (25 bornes), la SaintéLyon l'automne (76 bornes), je double encore la mise. En croisant les doigts pour que la météo soit de la partie.
Avec un peu de chance, il y aura un petit trail de préparation (Tour des Fiz si il a lieu?), et en automne, outre quelques courses locales, j'irai au Grand Trail des Templiers ainsi qu'à la SaintéLyon. Eh oui, beau programme avant de reprendre une nouvelle fois les skis pour l'hiver.
Et un grand merci au passage aux organisateurs de ces trois grandes courses pour leur invitation.
tu risques fort de perdre en vitesse sur les lattes...on verra ça.
RépondreSupprimerPas mal de fractionné pour conserver la vitesse!
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