Après le Jura, le
plateau des Bornes, l'Italie, c'était au tour du Massif des Bauges
d'accueillir notre Team de fondeurs. De quoi, bien entendu, en avoir
des sueurs froides. Non, ce n'est pas tant les cinq heures et demie
de transpirées sur le goudron sur une matinée, ni les trente heures
d'entraînement dans la semaine dont on va se rappeler, mais
uniquement... la nourriture.
Bah oui, parce que ce
serait oublier que ce qu'il y a de plus cher au fondeur qui
s'entraîne, eh bien, c'est de manger. Notre sport numéro un.
Non, je ne vous mens pas.
Si l'on fait la synthèse d'une journée classique d'entraînement
:
Dodo/Repas/Entraînement/Repas/Sieste/Goûter/Entraînement/grignotage/Repas/Dodo
on se rend bien compte
que la nourriture occupe les 4/10ème de la journée, la position
allongée les 3/10ème et les entraînements, seulement les 2/10ème.
Il est donc impératif,
lors d'un stage, d'avoir en priorité numéro 1 : un bon cuisto.
Entre raclettes,
spécialités locales, fondue bressane avec frites bien grasses,
plateau de fromage à tous les repas, j'en passe et des meilleurs,
pas de doute, l'accueil a été au top. Ce n'est pas nos estomacs ni
notre taux de cholestérol qui diront le contraire...
Ah, et j'oubliais, on
s'est quand même entraînés.
Enfin, rien qu'un peu.
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