Les vacances sont terminées. La semaine dernière, c'était la rentrée des classes. Familles en
effervescence, cartables à préparer, cahiers, trousses, crayons,
feutres, surtout, ne rien oublier.
Les profs et les instits se demandaient encore quelle galère les attendait, entre les nouvelles réformes à venir, les dernières avec lesquelles il fallait encore jongler, mais surtout, un peu (beaucoup) d'appréhension quant aux nouvelles classes, aux nouveaux visages, aux enfants terribles, en croisant les doigts pour que les enfants à venir ne soient pas pires que ceux de l'année précédente.
Les profs et les instits se demandaient encore quelle galère les attendait, entre les nouvelles réformes à venir, les dernières avec lesquelles il fallait encore jongler, mais surtout, un peu (beaucoup) d'appréhension quant aux nouvelles classes, aux nouveaux visages, aux enfants terribles, en croisant les doigts pour que les enfants à venir ne soient pas pires que ceux de l'année précédente.
Voilà,
quoi, la rentrée. Qui suit deux mois de vacances. Deux mois à se dorer
au soleil, à arpenter le bitume, à rougir sous quelques pics de
canicules. Oui, les vacances servent aussi à bronzer. A transpirer un
peu, aussi. Sinon, comment apprécier les soirées douces de ce bel été,
savourer l'inactivité au soleil couchant. Deux mois à souffrir du cagnard, à voir le goudron fondre sous ses roues, à s'entraîner matin, après-midi, voire même le midi parfois. A faire des heures, des bornes, à avoir mal aux guiboles, à rêver de son lit du soir dès le réveil du matin.
Mais oublions tout ça, c'est la rentrée. Et vu qu'on n'arrête pas de me dire:
"Alors, ça s'est bien passé, les vacances? Tu t'es bien reposé? Tu reprends un peu l'entraînement?"
J'ai peur de voir venir la reprise...
Mais oublions tout ça, c'est la rentrée. Et vu qu'on n'arrête pas de me dire:
"Alors, ça s'est bien passé, les vacances? Tu t'es bien reposé? Tu reprends un peu l'entraînement?"
J'ai peur de voir venir la reprise...
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