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lundi 29 septembre 2014

"Poupou" Chauvet

Hier, c'était la traditionnelle grimpée du Pays Rochois.
J'avais une tactique révolutionnaire pour arracher la victoire: grimper vite et gagner. Je sais, ça vous en bouche un coin.
Malheureusement, ça ne s'est pas tout à fait passé comme prévu. C'est presque une coutume cette saison, je termine deuxième. En soi, ce n'est pas catastrophique, mais vu qu'à la maison, tout le monde commence à m'appeler "Poupou", il faudrait peut-être que j'arrive à conjurer le mauvais sort. Mais vous vous en doutez, c'est plus facile à dire qu'à faire. 
Après une longue réflexion, j'ai trouvé LA solution. Je décrète que la seconde place sera désormais la seule, la grande, l'unique plus haute marche du podium synonyme de victoire lors des courses.
L'amendement a bien entendu été adopté par le sénat, avec effet rétroactif. Et évidemment, ce n'est pas discutable, tout à fait honnête, correct, intègre, légal, loyal, fair play, sportif, j'en passe, et des meilleurs.


"Et évidemment, ce n'est pas discutable, tout à fait honnête, correct, intègre, légal, loyal, fair play, sportif, j'en passe, et des meilleurs."
Ah, c'est marrant, je crois que je suis prêt à faire une grande carrière dans la politique...

mercredi 24 septembre 2014

Mont-Blanc



Le Mont-Blanc et moi, c'est une longue histoire. J'en parle chaque année, avec les potes. Malheureusement, les années passent et je fais toujours le même constat: il est toujours là haut et moi en bas, sans que je puisse m'écrier: "ça y est, j'lai fait".
Pensez bien, au courant de l'été, lorsqu'un ami m'a proposé de le faire, je n'ai pas vraiment hésité. Pour la date, on avait fixé le week-end du 20 septembre. J'avais donc un mois pour préparer mon ascension. Faire la check-liste, crampons, piolet, casque et tout le reste. Pour une fois, je ne m'y étais pas pris à la dernière minute. Non, au lieu de la veille, j'avais décidé de changer mes vieilles habitudes, j'avais commencé à me mettre en branle l'avant veille. C'est dire si je m'étais impliqué dans cette ascension qui me tenait à coeur. Bien entendu, la veille au soir, il me restait encore la moitié du sac à boucler. Un sage m'a dit un jour, lors d'une sage résolution de nouvelle année, de toujours voir la coupe à moitié pleine plutôt qu'à moitié vide. J'étais donc dans le bon chemin avec ce sac à moitié plein alors que dans une organisation normale, il se serait retrouvé à moitié vide.
Au petit matin, j'étais donc prêt à en découdre avec ce grand Mont-Blanc, assez sûr de mon fait, casque vissé sur la tête et sourire plein d'orgueil au coin des lèvres. Sauf que... Sauf que la météo s'en est mêlé. On a étudié toutes les prévisions possibles et imaginables, elles avaient toutes un point commun: le week-end allait être maussade (Avec du recul, je me demande si le temps n'avait pas une dent contre moi, à force de m'en moquer dans mes petites nouvelles...).
Alors voilà, on a écouté la voie de la sagesse, et plutôt que de finir dans une crevasse ou enterré sous trois tonnes de neige, l'ami a préféré annuler la sortie. Certains diront que c'était une sage décision, mais elle m'a laissé un goût amer. Et vu que je suis quelqu'un d'assez têtu (avis à certain(es) : inutile d'en rajouter), je n'ai pas lâché l'affaire. Pour moi, c'était une question d'honneur. Je l'avais prévu, il fallait que je m'y tienne. 





Aujourd'hui, je suis heureux et fier de pouvoir dire:






Je me suis fait un Mont-Banc.

















Et purée, qu'est-ce que c'était bon!


lundi 15 septembre 2014

Enfin les les vacances!

Pas de nouvelles, bonnes nouvelles. Eh oui, comme tout le monde, moi aussi j'ai droit à des vacances! Eh non, comme le pensent certaines personnes, je ne suis pas en vacances toute l'année. Bien qu'une saison hivernale ne fasse que quatre ou cinq mois, le reste du temps, je m'entraîne.
Mais, chose peu commune, il m'arrive aussi de prendre du bon temps. Farniente au soleil, au bord de la plage, le truc classique, quoi. Cette année, c'était direction l'Océan. La porte d'à côté, quoi!



Les vacances, ça rime aussi avec bouchons (bien que dans l'absolu, en terme linguistique, ça ne rime absolument pas du tout).


Pour la première fois depuis de nombreuses années, je n'ai presque pas fait de sport. Je dis presque, car je suis quand même parti avec mes skis roues et mes baskets, mais une chose est sûre, avec une ou deux heures de sport par jour, je n'ai pas vraiment usé le goudron. Comme tout le monde, j'ai eu ma dose de moustiques (voire un peu plus. A chaque fois, c'est moi qui prends. Pour ceux qui me côtoient, fini l'anti-moustique, il me suffit d'être là!). 



Ah, et puis vu qu'on était à l'océan, j'en ai profité pour faire du surf. Dans ma tête, le surf, c'était le truc de beau gosse. Je me voyais très bien dompter les vagues, faire des sauts, impressionner le public, facile, les doigts dans le nez...

Malheureusement pour moi, le surf, ça s'est un peu résumé à ça:


Je me suis fait ballotter, lessiver, secouer. Tête dessus, tête au-dessous, j'ai bu la tasse (l'eau salée, j'ai connu mieux).

Enfin voilà, je suis parti en vacances. Et pour les connaisseurs, on parle souvent de Brice de Nice...


D'Igor D'Hossegor...






Mais pour ceux qui étaient sur la plage de Soulac à ce moment là, vous savez qu'il existe désormais...


Benoît de Haute-Savoie!!!!!!!!!!!!!

 



mardi 12 août 2014

Pause philosophie, origine de l'expression "temps de chiotte"

A la différence de mon ami Luc, je suis beaucoup moins prosaïque. Voici donc mon idée (très bas de gamme, je l'avoue) sur l'origine de l'expression "Il fait un temps de chiotte".


Et pour les pratiquants, soyez indulgents, il faut bien rire un peu de temps en temps.

lundi 4 août 2014

Le temps... selon Luc (pause philosophie)


Bon, pas beaucoup de joueurs, mais heureusement, Luc nous fait une super pause philo sur le temps de chiotte:

Un "Temps de chiotte" pour Jean-Claude Vandamme, ça pourrait être ça :
Tu vois une molécule d'eau au fond de la cuvette où chacun va soulager ses maux et bien d'autres choses, et bien imagine sa vie.
D'abord , après s'en être pris plein la tête, elle est chassée par un toboggan inattendu, dans un bassin aux eaux troubles et ténébreuses pour y être nettoyée, désinfectée. Elle va être rejetée dans une rivière aux nitrates, rencontrer plein d'autres molécules dont elle n'imaginait même pas le nom, des poissons difformes et des algues chargées d'amphétamines aux allures gargantuesques, être assommée par une péniche chargée de résidus nucléaires " non dangereux", coincée dans une porte de barrage électrique jusqu'à la mer.
Cette molécule va ensuite se promener, accompagnée d'immondes détritus en plastique dans les courants, avant de reprendre l'ascenseur, par un phénomène d'évaporation, pour remonter dans les nuages. Et à nouveau ! Badaboum ! Heurtée en plein vol par un Boeing, elle retombe sur la montagne, glisse dans un réservoir, et retombe dans ton chiotte!...
C'est ça, un "temps de chiotte", pour une molécule d'eau. Et pour nous les hommes, un "temps de chiotte" c'est pareil, parce que l'homme, tout le monde le sait est composé à 80 % de cette molécule d'eau ! Tu comprends ? ! Comme pour cette molécule d'eau, elle voyage beaucoup mais y'a pas grand chose d'intéressant. 
Pour JCVD bien sur!



Photo de Hakuna Matata.


Si à votre tour vous voulez nous faire partager votre côté JCVD, n'hésitez pas!

mardi 29 juillet 2014

Pause philosophie sous la pluie

Aujourd'hui, pour changer, il pleut. La pluie, ça use un peu le moral...
Ce matin, comme chaque matin, j'ai donc enfilé mon short, mon T-shirt, mes chaussettes, mes baskets, et je suis parti courir. Comme presque chaque matin depuis le début du mois, j'ai pris une bonne rincée, mais pas que. Oui, sous la pluie, chose peu commune, j'en ai profité pour réfléchir, comme le fait si bien mon grand maître à penser, ce cher Jean Claude. Non, pas Duss. Quoique Duss, il est pas mal aussi (ci-dessous les fantastiques répliques des Bronzés):

-Votre nom ?
-Jean-Claude : "Jean-Claude Dusse... avec un D comme Dusse".

"Moi j'ai eu une rupture ! J'ai vécu avec une femme, puis au bout de 48 heures elle a décidé qu'on se séparait d'un commun d'accord, alors j'ai pas bien supporté ! J'ai même essayé de me suicider !"

Non, Jean Claude Duss, il était plutôt mon référent en matière de drague. Pensez bien, ça a marché du tonnerre, comme en ont témoigné mes années passées de célibat.
Je parlais donc du grand, de l'unique, de l'incontournable Jean Claude Van Damme (pour ceux qui seraient passés à côté, voir la première Pause Philosophie ICI.)
Je me suis alors demandé le pourquoi du comment de l'utilisation du terme familier:

Il fait un TEMPS DE CHIOTTE.
Durant mes deux heures de footing matinal, je me suis fait toute ma petite théorie là-dessus, publiée très prochainement sur le site lors de la Pause Philosophie (3ème édition). Mais avis aux lecteurs, si jamais vous avez quelques instants pour me faire partager vos idées décalées et/ou vos dessins décalés sur le temps de chiotte, envoyez, envoyez (chauvetben@gmail.com) je mettrai ensuite sur le site, histoire qu'on rigole un peu (ou pas) tous ensemble.
Histoire de voir si on a tous le même maître à penser...
Et... Un lot surprise pour le gagnant!!!