Pour bien comprendre ce bilan, il faut repasser en revue les quelques histoires de la saison (en lien pour ceux qui n'auraient pas suivi)
Il y a tout d'abord eu cette fameuse histoire du chiffre 4, qui m'a collé à la peau pendant plusieurs week-end. J'ai eu un mal fou à m'en défaire, mais j'y suis quand même arrivé, virant par la même occasion ma canne de p'tit vieux.
Piqué dans ma fierté de me voir affublé du titre de "vétéran", que l'on utilise pour bien vous faire comprendre que vous êtes désormais vieux et bientôt bon à remiser avec les outils et carcasses de voitures hors d'usage, j'ai voulu monter que je pouvais encore donner du fil à retordre aux jeunes.
Mais, dixit le proverbe, "il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué". Le mois de janvier, comme qui dirait, c'était la caca, la cata, la catastrophe. J'ai soupçonné -à tort- quelqu'un de m'avoir volé ma forme, ce qui aurait expliqué mes performances en berne. Fausse alerte, cette bonne et vieille forme avait fugué et, en mal de moi, elle a fini par revenir. Juste à temps pour satisfaire ma curieuse addiction aux cloches. Une magnifique victoire à la Transjurassienne a offert de la compagnie aux deux existantes (la première, celle de la Transju 2011, et l'autre, celle du goujat qui se veut drôle...)
Cette victoire, je la dois aussi à mon sérieux. J'ai simplement réappris à compter, me convainquant sans cesse qu'après le "un", il y avait le "un" et puis encore le "un". Tout bonnement. Et ça a marché. Tout bêtement. D'autant plus que le un, il est facile à prononcer, il ne râpe pas la gorge, et est doux à l'oreille.
J'aurais bien voulu l'entendre de plus nombreuses fois, mais la forme est capricieuse et n'en fait parfois qu'à sa tête, et bien que je l'aie attachée pour qu'elle ne me refasse pas une nouvelle fugue, j'imagine lui avoir laissé trop de jeu, ce qui expliquerait ces quelques secondes qui m'ont manqué lors des sprints finaux de certaines grandes courses.
Aujourd'hui, après une courte pause, il va falloir reprendre le chemin de l'entraînement. Avant cela, je suis allé naviguer sur internet pour faire une commande importante. Vous vous en doutez, je me suis acheté des cerceaux.
Comment ça, pour quoi faire ? Bah, pour les Jeux Olympiques! Si je veux essayer d'y aller, il faut bien que je commence à m'entraîner rapidement.
J'aurais bien voulu l'entendre de plus nombreuses fois, mais la forme est capricieuse et n'en fait parfois qu'à sa tête, et bien que je l'aie attachée pour qu'elle ne me refasse pas une nouvelle fugue, j'imagine lui avoir laissé trop de jeu, ce qui expliquerait ces quelques secondes qui m'ont manqué lors des sprints finaux de certaines grandes courses.
Aujourd'hui, après une courte pause, il va falloir reprendre le chemin de l'entraînement. Avant cela, je suis allé naviguer sur internet pour faire une commande importante. Vous vous en doutez, je me suis acheté des cerceaux.
Comment ça, pour quoi faire ? Bah, pour les Jeux Olympiques! Si je veux essayer d'y aller, il faut bien que je commence à m'entraîner rapidement.
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