C'était mon objectif principal de l'année. L'intégrale de Belledonne, magnifique et sauvage, que je m'étais promis de traverser. L'Echappée Belle, qui porte si bien son nom.
Une aventure à vivre, rapidement devenue mon Everest à quelques jours de l'épreuve, la faute à un virus rencontré au mauvais moment.
Sur la liste des résultats, j'aurais préféré un "non partant" plutôt qu'un "abandon". Mais l'envie était trop forte, à vouloir croire qu'avec de la volonté, toute montagne peut se gravir. C'était mon Everest et je vous faire honneur à l'association du même nom, à Isa, surtout. A tous ceux et celles, remarquables de résilience, dans leur combat pour la vie.
Aller jusqu'au bout, quelles que soient les conditions.
J'ai pris le départ avec mes faiblesses et compris que je n'étais pas un surhomme, seulement un être humain que la nature a remis à sa place.
La marche était trop grande. Il a fallu accepter de renoncer. Accepter la sagesse, comme celle d'abandonner une ascension en pleine tourmente.
Et ne pas voir en l'abandon un échec, mais l'opportunité d'un nouveau départ.
Une aventure à vivre, rapidement devenue mon Everest à quelques jours de l'épreuve, la faute à un virus rencontré au mauvais moment.
Sur la liste des résultats, j'aurais préféré un "non partant" plutôt qu'un "abandon". Mais l'envie était trop forte, à vouloir croire qu'avec de la volonté, toute montagne peut se gravir. C'était mon Everest et je vous faire honneur à l'association du même nom, à Isa, surtout. A tous ceux et celles, remarquables de résilience, dans leur combat pour la vie.
Aller jusqu'au bout, quelles que soient les conditions.
J'ai pris le départ avec mes faiblesses et compris que je n'étais pas un surhomme, seulement un être humain que la nature a remis à sa place.
La marche était trop grande. Il a fallu accepter de renoncer. Accepter la sagesse, comme celle d'abandonner une ascension en pleine tourmente.
Et ne pas voir en l'abandon un échec, mais l'opportunité d'un nouveau départ.