Pas de
nouvelles, bonnes nouvelles ?! Ce proverbe là, on peut le
mettre de côté. Alors je pourrais expliquer mon retard d'écrit du
fait du décalage horaire. Mais une heure de décalage, autant pour
l'Estonie que pour la Finlande, c'est un peu maigre comme excuse.
Venons
en au fait. Après la Transju, remonté à bloc, je suis allé sur la
Tartu, un 63km poussée sur un profil relativement plat. 50 bornes
dans le groupe de tête, puis une bonne hypoglycémie sur la fin. Je
termine 10ème. Dans 10, il y a le chiffre 1. Je sais pas si on peut
compter ça comme une moitié de victoire ? Non ?
Bon,
tant pis. On oublie et on part direction la Finlande. C'était le
week-end suivant, cette fois-ci un 50km en skate. Profil sensiblement
identique à la Tartu, pas beaucoup de montées, un petit vent de
face qui ne m'a pas empêché d'attaquer, de m'échapper, et puis de
me faire reprendre. J'ai tenté plusieurs fois, sans succès, et au
final, pour ne pas déroger à la règle, l'arrivée s'est jouée au
finish. Je termine à la 8ème place, un peu déçu de ne pas avoir
su me remettre en mode guerrier sur les derniers mètres.
Je
sais, rien de trépidant dans ces quelques lignes, mais je suis à
court d'anecdotes croustillantes, va falloir que je me creuse un peu
plus les méninges la prochaine fois.
Grosse semaine de préparation en vue de l'Engadine dans deux semaines, et ce week-end, ce sera un petit marathon en terres Jurassiennes à l'occasion de la traversée du Massacre
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